Turbine Schauberger

[quartz]

Je vous propose de voir le principe de la turbine Schauberger sous un angle différent.
Je travail sur ce projet mars 2010 ou j'ai passé beaucoup de temps à faire des maquettes d'expériences et de tests.
J'en suis arrivé à des conclusions techniques que je tente de prouver par des maquettes fonctionnelles.
La première chose que j'ai déduit est que la forme particulière des cornes de la turbine à eau de Schauberger, on un seul but.
a savoir que l'eau s'y déplace à une vitesse maximale.
la forme fait que l'eau se déplace en spiral dans le tube cette spirale permet d'avoir en "tube" d'air au centre de l'eau en mouvement.
ceci permet d'éliminer le front d'onde mécanique que rencontre l'eau lorsqu'elle se déplace de manière purement laminaire dans un tube.
Ainsi l'eau peut avoir une vitesse maximal car elle ne s'auto-freine pas lords du déplacement !
second point la turbine Schauberger expulse le flux en bout de corne dans le même sens que la rotation du rotor.
donc il ne peut utiliser le phénomène dit de jet réaction, au contraire il utilise une addition de vitesse.
le flux à une vitesse propre d'expulsion, expulsion produite par des buses qui elles même se déplacent.
l'impact que produit le flux se fait à une vitesse additionnée de ces deux vecteurs.
Troisième élément, lorsque le flux est projeté sur un récepteur (aube de turbine) deux possibilités,
1-soit l'aube arrête le flux reçoit le choc et restitue se choc par une réaction de déplacement de la roue sur laquelle elles sont implantées (turbine).
2-ou bien l'aube n'arrête pas en totalité le flux elle produit jute une déviation du flux.
ainsi cette déviation produit une transmission d'énergie cinétique aux aubes d'orientations de la turbine,
elle se met en rotation grâce à cela mais aussi transmet le flux qui peut à nouveau produire un impacte dans des condition de vitesse augmentée.
La turbine à eau de Schauberger exploitait partiellement ce mécanisme car l'élément de déviation du flux était fixe sur le pourtour de la cuve.
alors que la répulsine elle était munie d'un rotor de transmission mobile, que j'appellerais accélérateur.
J'ai donc conçu une maquette dont l'objectif est de démontrer ce mécanisme.
Rendez vous ici pour visionner une vidéo
ceci ne s'arrête pas la, je pense avoir compris ce que Shcauberger voulait dire lorsqu'il parlait de moteur à implosion.
je préfère nommer cela moteur à dépression.
La suite en maquette bientôt.

[tagor]

Je vous propose de voir le principe de la turbine Schauberger sous un angle différent.
...
La suite en maquette bientôt.

ici tu as un serieux concurrent :
http://peswiki.com/index.php/Directory:Cogar_International_Energy_Corporation

au moins ils font bouger les lignes ... des scientifiques commencent à regarder
ce qui se passe dans le bousin !

[quartz]

Oui Tagor j'ai vu ça il y a quelques mois,
J'ai publié ça sur le forum en disant que je faisais un peu léger avec ma petite turbine !
bref, ça bouge et c'est bien !

[quartz]

Quelques news !
J'ai avancé sur mes maquettes et les mesures.
Mon hypothèse de départ était de travailler sur l'aspiration de flux d'air pour faire tourner des turbines.
L'avantage de cette technique réside dans le fait que lorsque l'on aspire un flux il ne deviens jamais turbulent, il reste parfaitement laminaire.
Ceci permet de mettre un nombre de turbines indéfini les unes derrières les autres.
Étant donné que le couple récupérable par chaque turbine reste constant quelques soit cette quantité.
Une turbine récupérant par exemple 5% de la puissance initiale utilisé pour créer la dépression de flux,
Et bien il suffit de monter 20 turbines en série pour récupérer 100% du couple.
ça c'est la théorie, dans les fait le pourcentage de puissance récupérable par chaque turbine est plus faible,
donc il faut une grande quantité de turbines pour parvenir à 100%, donc vous imaginez pour récupérer plus.
Mon travail depuis plusieurs mois consiste justement à augmenter de pourcentage par turbine.
J'ai du produire différentes formes d'aubes de turbine et de diffuseur afin de trouver le compromis le plus efficace.
étant toujours relativement limité par le pourcentage de récupération,
j'ai fini par comprendre que je devais adopter une technique intermédiaire qui me permet d'obtenir un pourcentage plus élevé de récupération de couple sans que le flux ne devienne turbulent.
Donc il est toujours possible de monter une grande quantité de turbines en série, tout en ayant un couple plus conséquent par module.

Ce qui me conforte dans cette voie est que la machine que je met au point ressemble beaucoup à une machine qui à été développée antérieurement.
voir lien en référence:
http://www.free-energy.ws/ron-rockwell.html
http://peswiki.com/index.php/Directory:Cry..._Turbine_Engine
http://www.youtube.com/watch?v=LLIGHggWV5w
Je ne comprenais pas du tout comment pouvait fonctionner ce système,
à la suite de mes conclusions je suis naturellement parvenu à la "recréer".
Aujourd'hui, tout devient évident, simplement en la regardant, je peux deviner aisément ce qui ce trouve derrière les zones cachées.
Le principe respect le comportement cyclonique avec des différentiels de vitesses de flux très nette et j'imagine des différences de températures, (à vérifier).
Je suis en train de dessiner chaque pièces afin de la mettre en production dans les semaines qui viennent.
Certaines autres, tel que les tubes en plexiglas, sont en cours d'approvisionnement.
Je pense que je ne vais rien inventer encore une fois, mais simplement redécouvrir ce qui l'a déjà été !

[Bob Smith]

Wow, très interessant.  Je n'avais jamais considéré que ce turbine fonctionnait sur les principes vortex élaborés par Viktor Schauberger.   Je vous souhaite tout success. Bob